« Trop bien… Trop, trop
bien… » « Un
parcours fabuleux, une foule immense massée, sans discontinuer, du
premier au dernier mètre, des ovations gigantesques qui se succédent
sans le moindre répit, de la musique (certains diront : « j’aurais
aimé un peu de solitude »), la pluie (deux gros orages), la grêle
même (qui ne fit fuir personne)… L’arrivée à St James Park ( ?),
que du bonheur, que du bonheur… Je crois bien que nous avons été
plusieurs à pleurer… Nos premiers mots (lorsque nous avons pu parler) :
« Trop bien… Trop, trop bien ce marathon… Comme à New-York…
Voire mieux !». « Mes
souvenirs de ce Marathon de Londres, ce sont des centaines et des
centaines d’images, une ambiance inimaginable qui vous enveloppe du début
à la fin . En fait, c’est un tout qui vous écrase ne vous laissant que
deux mots à la bouche : « Trop bien… Trop bien… »
« Pour nous, pour moi, tout avait commencé le vendredi matin à la
gare de
« Le dimanche matin, le grand moment approche. !. Nous voilà partis pour Greenwich, banlieue sud de Londres… et là des pelouses à perte de vue (90ha… combien de terrains de foot?), les cars d'un côté, les tentes, les vestiaires et et et... Bref, on commence à se rendre compte de l'ampleur de cette manifestation. Ce n'est que le début… plus de 30000 participants, pris en charge du début à la fin; nous attendent… Trop bien… ce sera trop bien.
« Le
lundi matin?. Pas fatigués du tout, nous sommes allés chez Harrod's, et
sommes tombés en admiration devant l'architecture ‘Modern Style’ et
les étals de marchandises à vous couper le souffle (les prix aussi).
Puis, hélas, ce sera le retour en Eurostar: dans les temps!
A propos de temps? Pluvieux!… Non plus sérieusement :
--Monique et Michel, 4h13 --Benjamin: 4h32 --Michel de
Colette Maraval |