François Lopez dit  Paco

« Il a bu sévère… comme nous au-autres »

C’est plus du tout un rigolo, à l’heure de l’apéro… le beau Paco !. Pour preuve, il nous a tous menés en bateau lors de sa somptueuse paëlla.

De vous à moa… et pour la maestria avec laquelle il nous berna, il mérite une ola et la couronne de Jocelien du ’’moas’’.

Mais oui mes agneaux, loin de ses fourneaux, il était trop le petiot Paquito… En tendant et retendant son verre, il répétait à l’envi qu’il avait pris un coup de chaud, mais qu’en cuistot bobo il était accro du beau boulot… qu’il devait mettre le turbo.

De fait, à cette heure là, ladite paëlla –placée sous la surveillance de brave Iwan et de délicieuse Josée, Madame Paco- ladite paëlla était prête à servir. Et, tout en se faisant plaindre, notre bel Hidalgo nous la jouait torero de bistrot.

Allons, soyons cool mes frères, le Paco : « Il est des nôtres, il a bu ’’sévère’’… comme nous au-autres’ ».

François Lopez , au Jocel, on l’adore… Depuis un peu plus d’une dizaine d’années, c’est M. Paëlla. Très honnête, il explique aujourd’hui : « Pour la toute première dégustée dans l’enceinte du Fort de St Priest, Dominique Maillet et Pascal Fuoco s’étaient montrés géants, formidables d’encouragements. Ensuite, au fil ses années, j’y ai pris goût. Maintenant, c’est un plaisir ».

Il n’en demeure pas moins qu’il consacra un peu plus de 3 heures 30 à la confection de son dernier chef-d’œuvre. 3h30 qui le virent transpirer comme un Kenyan sur marathon… 11 kilos de riz, 22 litres d’eau… 8 kg de crevettes, 5 kg de moules, des cuisses et des ailes de poulet à profusion… « faut les surveiller et les remuer...  tout cela sans parler des épices ajoutées,  pour la convivialité ! ».

Mais notre Paco, outre le fait qu’il est devenu un roi du paso, du tango et du rock accro, notre Paco est également un spécialiste de l’informatique. C’est lui, cette année qui se chargea de la réalisation (conception et rapport avec l’imprimeur) du Bulletin d’inscription des Foulées San-Priotes. C’est lui toujours qui, l’an passé, décida Jean Villanueva (cet autre informaticien des plus malins) à intégrer le club.

« Le Jocel, c’est un super groupe. Même s’il y a eu de nombreux changements, l’esprit est toujours resté le même. Oui, la convivialité demeure et j’aime ça. Je suis très heureux d’en faire partie ».