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Jocelien ou Jocelienne du mois |
De Zorro, il n’a ni le regard perçant, ni la glotte altière, ni l’art de la monte… Ses yeux se dissimulent derrière des bésicles ‘Ahff-lefou’… Sa glotte, comme un gland, monte et descend au gré des canons qu’elle engrange… Et, skreugneugneu, pour revenir à ce géant, il n’a jamais cavalé sur le dos d’un alezan, ayant tout juste papouillé la croupe des chevaux des fêtes à neuneu… Et pourtant, comme Zorro, en ce début juillet : « Fayet
est arrivé… sans s’presser… C’est donc avec un plaisir non dissimulé que le tout-Jocel et sa bande de gosiers secs viennent, à l’orée de ces nouveaux congés payés, de le retrouver… après une bien trop longue absence... De le retrouver, le 1er juillet, à l’occasion de la soirée-biberon d’avant-vacances… puis, le 4 juillet, au départ –et plus fort encore- à l’arrivée de la Course des 2 Forts. A Parilly, lors de sa première réapparition, il a cassé la baraque… la croûte et la graine comme un joyeux garnement… qu’il est préférable d’avoir en photo plutôt qu’en pension. Certains, l’ayant apprécié, pétant… d’allant et de santé, ne purent que l’accompagner, à la renverse, sur les chemins de traverses… Et alors, et alors : « Fayet s’est exhibé… sans s’presser… « Le grand Fayet… le beau Fayet… Avec son string et son bide trop gros… A
Irigny, ce fut une toute autre mélodie, ses gambettes maigrelettes nous
la jouèrent polka-petits-pas… par rapport à ses performances
lointaines. En fait, il en bava comme un escargot entre le 2° et le 5°
km, mais termina cette course à l’ancienne et colla 1mn12, dans les
1500 derniers mètres, à «
Fayet est arrivé… sans s’presser… Notre cher grand nous avait abandonnés voici près de 2 ans à la suite d’une blessure. Ensuite, il avait préféré son boulot à nos entraînements et avait perdu toute motivation… jusqu’à ce que son amie l’invite à perdre les kilos accrochés à sa bedaine… C’est ainsi que : «
Fayet s’est fait aimer… sans s’presser… Cela dit notre Fayet, dont la devise (me semble-t-il) est ‘’hêtre et durer‘’… (fayet, comme fayard, signifiant hêtre en vieux français)… notre Fayet est un cas. Ne fut-il pas, à Lyon II°, le premier bébé de l’année en 1951 !. Tant et si bien qu’il eut droit à sa photo, dans le journal, le lendemain de sa naissance… Mais oui, c’est sérieux : «
Fayet est arrivé … sans s’presser… Allez que je le redise, en toute franchise: Sur le foie des hommes et dans le cœur des femmes, sa grande carcasse laisse des traces. Ni Zorro, ni Toto… ni Roméo, ni Belmondo… Il est trop ce grand Zozo. Et
on l’ai-ai-me. |
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Alain, sportif de haut niveau accompli, maîtrise parfaitement les séances de récupération et ne tombe jamais dans le piège de la déshydratation. |
Jocelien du mois de |
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